De petite taille, ronde, le visage bien conservé au sourire parfois ironique, portant de fines lunettes rondes, au premier regard, Tritonne Dolcé ressemblait à un pur produit de ces familles aisées recherchant à combler les lacunes d'une éducation qu'elles persistent à croire inachevée. Mais, à la première phrase, elle balaie toute cette perception d'un revers de main. « Je suis née en 1961, à 18 ans j'ai échoué au baccalauréat, ce qui coïncidait avec la mort de ma mère et mettait fin temporairement à mon parcours scolaire. J'étais ob
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