« Au niveau des écoles privées, c’est un fonctionnement extrêmement difficile dans un environnement incertain, instable à cause de l’insécurité qui sévit dans le pays. Il y a des écoles qui fonctionnent trois jours par semaine, d’autres à temps plein et une autre catégorie qui fonctionne mais qui a perdu, dans certains cas, deux tiers de leurs effectifs», a expliqué le vice-président de l’association.
Depuis mi-septembre, des efforts systématiques sont consentis pour la réouverture des classes mais les défis sécuritaires et
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