Cher Patrice,
Ton billet intitulé « La vingt-sixième heure » interpelle par la sincérité des sentiments exprimés, la correction du ton employé et la logique qui le sous-tend. Il appelle à la réflexion du lecteur par l’intelligence que tu y déploies et surtout par la nécessité de prendre conscience de l’urgence de la situation.
Après plusieurs relectures, je me suis résolu à y répondre non pour en prendre systématiquement le contrepied mais pour démontrer que l’on peut, malgré l’angoisse existentiell