Impossible, depuis 1974, de ne pas convoquer les souvenirs de « notre » Coupe du Monde quand arrive une nouvelle édition. Même si le football haïtien était splendide aujourd’hui, la marque laissée dans les esprits et dans les cœurs par les mondialistes haïtiens de 1974 resterait encore indélébile. Huit sont morts, dix vivent à l’étranger, quatre résident à Port-au-Prince : Serge Ducoste, Guy Saint-Vil, Philippe Vorbe, Marion Léandre. J’ai une dette de reconnaissance envers eux tous. Pourquoi est-ce à ce
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