Travaillant à distance, la majorité des fonctionnaires n'ont pas vu la cour du ministère de la Santé publique et de la Population depuis deux mois. Une situation qui a débuté avec la pénurie de carburant jusqu'aux mouvements de peyi lòk consécutifs à l'annonce de l'augmentation du prix du carburant à la pompe. Le ministère de la Santé publique et de la Population et des dizaines d'autres institutions sanitaires dont des hôpitaux ont dû, tout à tour, tirer la sonnette d'alarme, réduire le nombre de services, réduire les heures de fonctionn
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