S'il était encore de ce monde, l'illustre Victor Hugo, l'auteur de "Oceano Nox" (Nuit sur l'océan), aurait peut-être titré ainsi son texte Futbolo Nox, après avoir visité les sombres couloirs de notre football. Car l'état de ce grand malade désoriente même les plus optimistes fouteux haïtiens.
Dans "Oceano Nox", Hugo décrit les marins comme des soldats sans armes qu'on a habillés pour un autre festin. En sport national, "Futbolo Nox" met en évidence des marins d'un autre genre (dirigeants) qui ne savent pas nager, et qui red