Les histoires policières, romans ou nouvelles, ont longtemps été dédaignés par les auteurs et critiques de la ‘‘grande littérature’’ qui n’y voyaient que de futiles récréations et les reléguaient dans la catégorie ‘‘para-littérature’’ sans importance, sans prise réelle sur la réalité. Les auteurs français et francophones du moins. Pas les anglo-saxons, qui ont exploré et décrit les milieux et personnalités criminels avec un art consommé du réalisme, de la psychologie du comportement ou ‘‘behaviorisme’’ admiré par un Jean-Paul Sartre et le
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