« Le festival revient pour une 5e édition et le public doit s’attendre à des créations inédites, à des propositions atypiques. Il doit s’attendre au clash aussi parce qu’on va aborder des sujets difficiles et avoir des conversations tout aussi difficiles aussi. On a eu la prestation de Tafa sur un texte de Souad Labbize traitant d’un viol survenu dans son enfance et le choix esthétique était un peu de nudité, de la peinture sur le corps, de jouer avec les couleurs pour renvoyer à l’enfance », nous lance tout de go Gaëlle Bien-Aimé, l