A l’instar des fables de La Fontaine, l’auteure fait parler des animaux comme les fourmis à la place des humains, pour relater son récit qui s’inscrit dans un registre tragique.
La tragédie relative aux dégâts provoqués par ce tremblement de terre très dévastateur est décrite par l’auteure avec des phrases très courtes qui rendent le texte léger. Elle se traduit à travers des termes très évocateurs.
« C’était un vrai cauchemar ! Beaucoup de fourmis pleuraient, d’autres criaient très fort. Il y en avait aussi qui priaie
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