Depuis quelques mois, la population haïtienne ne sait pas à quel saint se vouer face à la recrudescence des actes de violence perpétrés dans le sud de Port-au-Prince. Ces actes de violence sont produits sous la passivité et même sous la complicité de l’État haïtien, et il n’a rien fait pour enrayer ce fléau semant le deuil dans la famille haïtienne. La police nationale, comme force légale du pays, dont le rôle est censé de protéger et servir les vies et les biens des citoyens, parait impuissante pour contrecarrer les ga
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