Les pertes post-récoltes figurent parmi les plus grands maux dont souffre l’agriculture haïtienne. Elles sont estimées à 30% pour les cultures céréalières et jusqu’à 50% pour les fruits et légumes (1). Des pertes énormes liées aux conditions de stockage, de transport et aux faibles efforts de transformation. Le fruit à pain (veritab) est l’un de ces produits périssables. Dans la Grand’Anse, les planteurs sont encore plus confrontés aux problèmes de transport et de conservation. Les produits tombent rapidement en pourriture et son
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