A vingt-quatre (24) heures de la fin de la Conférence des Nations Unies sur les Changements climatiques, ouverte à Montréal le 28 novembre dernier, l'issue n'est pas encore claire pour nombre de participants représentant cent-quatre-neuf (189) Etats-parties de la Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements climatiques et les cent cinquante-neuf (159) signataires du Protocole de Kyoto. Les enjeux grands et diversifiés et la divergence sont le seul dénominateur commun des délégués.
Tout le monde l'admet, il est évident que la tempé
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