L’une, le 27 décembre 1863, l’autre, le 23 janvier 2022. Les deux récits se séparent par les ans, se distinguent par les mois, mais se joignent par le nombre de décibels d’échos nocifs aux oreilles de la collectivité. Dans les deux cas, il y a la mort d’une fillette, une accusée vodouisante et la foi vodouesque, elle-même, est injustement blâmée.
L’Affaire Tante Jeanne. -
D’abord, il faut condamner cet acte barbare ; un crime odieux commis par des sorciers sacrificateurs d’origine kongo, habitant de
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