Il est 15 heures. La cour de l’UNIQ est pratiquement déserte. Un ou deux étudiants. Pas plus. Une symphonie jouée par l’orchestre Amuzart brise le silence planant sur les lieux et rappelle que 12 ans de cela, un 12 janvier, le pays a connu l’une des catastrophes naturelles les plus meurtrières de son histoire. Que bon nombre de nos compatriotes ont péri sous le poids des décombres, à la suite d’un tremblement de terre de magnitude 7.3. Sur ce même site, des étudiants et des professeurs n’y ont pas échappé, non plus.
Dans la sall
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