Comme les deux précédentes années scolaires, le risque de perdre beaucoup de jours dans le calendrier scolaire inquiète encore cette année. Si les deux dernières années ont surtout été hypothéquées d’un côté par la pandémie et les divers mouvements de protestation, cette année a démarré dans un contexte difficile doublement marqué par un tremblement de terre dans le grand Sud et une situation de violence généralisée à Port-au-Prince. Nesmy Manigat, ministre de l’Éducation nationale et de la Formation professionnelle qui intervenait su
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