Al Gore, quand il était vice-président des États-Unis, avait été critiqué pour avoir sollicité des fonds de campagne d’une secte boudhiste. À cette occasion, il avait fait cette déclaration mémorable « Je n’ai rien fait de mal, mais je promets de ne pas le refaire ». Cette forme de dérobade est à mettre en parallèle avec l’aveu ambigu du chargé d’affaires américain Kenneth Merten à radio Ginen. « Nous ne voulons pas intervenir dans les affaires des Haïtiens. Nous avons été accusés d’immixtion. Nous ne le ferons plus.