Le jugement, que l'on imagine sera sonore, des présumés auteurs matériels et intellectuels du magnicide du capitaine militaire et président Thomas Sankara, vilement assassiné à l'âge de 37 ans en compagnie de douze compagnons à la suite du coup d'État du 15 octobre 1987, s'est renoué le 25 octobre dernier au Tribunal militaire de Ouagadoudou (Burkina Faso), après avoir été suspendu à pétition de deux avocats de la défense. Des quatorze imputés, deux ne sont pas assis au banc des accusés: le principal inculpé et supposé cerveau du coup
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