La rigueur à la conservation et à la reproduction de styles proches de l’art taïno est au rendez-vous et représente le cœur de la formation des artisans, à en croire Sonny Louis, enthousiaste à l'idée de débattre de poterie. « Au début, par souci de maîtriser l'argile, on pratiquait la poterie libre. Une fois que les techniques de base ont été maîtrisées, on s'efforçat à pratiquer l'art taïno, ce qui nous obligeait à casser toute pièce qui n'était pas réputée taïno », a confié M. Louis.
Sonny Louis ne lésine pas su
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous