À l’entrée principale menant à la cour du BSEIPH, un non-voyant un peu costaud, Marckenson César, canne en main, nous accueille. Deux autres non-voyants se tiennent debout dans la cour. La porte d’entrée du bâtiment est fermée. Non loin, un jardinier arrache quelques plantes indésirables. Un agent de sécurité est assis sur une chaise près de la barrière d’entrée.
« La situation est très compliquée dans cet espace. Depuis notre arrivée, nous n’avons reçu aucune aide de l’État », se lamente Brunel