En publiant « Sylvain Salnave, la Douce amère » C3 Éditions , l’écrivain Michel Soukar frappe un coup qui place sur la scène l’épineux problème de la lutte des classes et de la question de couleur. Ce roman historique brode sur le court règne du « protecteur de la Nation » et ensuite président, Sylvain Salnave, mulâtre de son état. Un règne qui se voulait une rupture d’avec la tradition d’exercice du pouvoir depuis l’assassinat du fondateur de la patrie, Jean-Jacques Dessalines en 1806.
On doit se courber devant le talent de
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