« C’est un budget de régularisation. Nous avions tablé sur des recettes de l’ordre de 132 milliards de gourdes. Nous sommes parvenus à collecter entre 96 et 97 milliards. C’est le premier élément à l’origine du budget rectificatif », a confié au journal le ministre, soulignant les difficultés d’un organe de perception comme les douanes. «Les douanes n’ont jamais pu travailler une semaine entière sans problème. La DGI, malgré tout, a fait des efforts mais au niveau de la douane, cela n’a pas été au rendez-vous », a expliqué Michel
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