Après plus d’un mois d’enquête, le Réseau national de défense des droits humains (RNDDH) dit parvenir à la conclusion, qu’en dépit du niveau d’élaboration poussée de planification et la coordination de la mission visant l'arrestation puis à l'assassinat du président de la République, l’exécution serait incertaine sans un appui total de ceux qui étaient préposés à assurer la sécurité du chef de l'État. Dès les premiers coups de feu, Jovenel Moïse a commencé à passer des appels. Le directeur général a.i. de la Police national
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