Dans la politique, comme dans d’autres milieux sans doute, on rencontre de grandes gueules. Fervent catholique, Jean Gabriel Fortuné, qui n’était pas un type facile, jouait si souvent ce rôle qu’il est comme impensable qu’il ne soit plus là, muni de sa verve bondissante qui a dénoncé tant de magouilleurs et de crimes. C’était un homme politique incorruptible, un vrai, un alpha Cassandre comme on n’en verrait peut-être pas de sitôt sur notre sol abîmé et malheureux. Sincère et intransigeant, il posait un regard clinique et judicieux su
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