Samedi 14 août 2021. Port-au-Prince s’apprêtait à vivre un jour de « bese leve », comme les Haïtiens aiment à le dire souvent. Il était aux environs de 8 heures 30 du matin, lorsque les violentes secousses d’un tremblement de terre de magnitude 7.2, m’arrachaient de mon lit. « Goudougoudou est de retour », me suis-je dit sur le coup.
Affolée, je sortais en trombe de la maison, sautais les marches de l’escalier conduisant au parking, avant de finalement me réfugier dans la rue. Loin de ces masses de bétons sur ma tête,
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