L’annonce faite par le doyen du tribunal de première instance de Port-au-Prince, sur le choix du magistrat Mathieu Chanlatte pour instruire le dossier de l’assassinat du président Jovenel Moïse, a fait couler beaucoup de salive au palais de justice. Cet épineux dossier provoque des remous dans l’actualité internationale. Si trois organisations de défense des droits humains désapprouvent ce choix, en raison des liens existant entre ledit magistrat et l’ancienne administration, d’autres magistrats s’interrogent sur les 40 000 dollars am