Waldina Nelson habite en banlieue de Montréal depuis bientôt cinq ans. Elle n’avait même pas encore d’emploi stable qu’elle envoyait presque tous les mois de l’argent à ses parents en Haïti. Et elle le fait plus que jamais.
Quand ce n’est pas pour répondre à une urgence médicale ou un autre besoin ponctuel, c’est pour payer la scolarité qui représente des dépenses énormes pour la plupart des familles haïtiennes. « Depuis que je suis établie au Québec, j’envoie régulièrement de l’argent à ma famille en Haïti, dit-elle. L
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