À l'instar de feu mon cousin, Claude C. Pierre, qui a écrit « C’est un grand arbre qui nous unit », Dieudonné Fardin et moi étions restés unis, de 1971, l'année de mon entrée au Petit Samedi Soir, à nos jours. Le voilà parti comme un arbre géant au moment où l'oeil d'Elsa me foudroie dans la Grand-Anse en ce mois de juillet 2021. Pas comme ceux d'Elsa d'Aragon.
Je me souviens de ce chaud soleil d'été d'il y a 50 ans qui n'était pas aussi brûlant que celui du Martissant d'aujourd'hui pour se rendre allègrement à Fon
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