Le pouvoir judiciaire a perdu ce mercredi un grand magistrat, le président de ses deux plus importantes instances. Le départ de ce dernier pour l’Orient éternel n’est pas sans conséquence sur la Cour de cassation de la République ainsi que sur le Conseil supérieur du pouvoir judiciaire. Des acteurs craignent déjà que la justice, fragilisée avec la mise à la retraite illégale de trois magistrats de la Cour de cassation par le chef de l’État, connaisse le même sort que celui du Parlement haïtien, caduc depuis le deuxième
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous