Le nom de Jacques Stephen Alexis resplendit toujours comme une nova dans le ciel de la littérature haïtienne à côté des noms de Jacques Roumain, de Georges Castera ou de Magloire Saint-Aude. On pourrait le classer aisément parmi les cinq plus grands noms de notre littérature. S’il n’avait pas succombé sous les coups meurtriers de la dictature de François Duvalier il aurait peut-être obtenu le prix Nobel de littérature comme Pablo Neruda, Derek Walcott ou Miguel Angel Asturias. De loin l’auteur de «Compère General Soleil» est peut êtr
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