Cher Maxime et chère Yolène,
Devin ou fou, j’aurais été de penser que je dirais adieu à ces deux trésors nationaux que vous représentez et à ces deux guerriers humanistes que vous aviez symbolisés à votre façon. Comme de coutume, vous m’apprenez par personne interposée un acte ou une action que vous aviez posé.e, votre départ de cette Haïti qui s’en va, elle aussi. Vos messages du 28 août 2021 m’ont surpris, laissé sans voix, bouleversé et fait sombrer dans une tristesse qui me noue, encore, l’estomac… Vous êtes parti.e.s po
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