Avant de vendre le rêve d'un projet de zone franche qui va remettre Savane-Diane sur les cartes de la production agricole à grande échelle destinée à l'exportation, le mandataire de la famille Déjoie, son petit-fils, Louis Armand Déjoie, a voulu clarifier la provenance des 8 300 hectares cultivables sur lesquels l'idée de zone franche deviendra réalité. S'excusant de ne pas pouvoir s'exprimer en créole, l'avocat qui vit aux États-Unis affirme avoir fait le déplacement afin de pouvoir dissiper tout malentendu et se porter garant de l'a
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous