Je me suis réveillée ce matin sans toi. Sans ta force. Sans ton regard baigné de soleil. D’espoir. De foi en des lendemains plus cléments. Je ne sais où ton esprit gravite. Peut-être quelque part entre ciel et terre. Entre les plaintes de mères dévastées et les soupirs de frères d’armes affligés. Entre l’éveil brutal à l’âge adulte d’orphelins déboussolés et le regard hébété d’épouses anéanties.
Je sais seulement que tes silences me brûlent et réson
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