Les personnes vivant avec un handicap sont plus sujettes à subir des violences physique, psychologique et économique, car elles sont vulnérables. Quant aux femmes et aux filles handicapées, elles sont des proies faciles en cas d’agression sexuelle. « Les agresseurs estiment qu’ils peuvent violer une fille ou une femme handicapée par ce qu’ils pensent que les personnes faisant partie de cette catégorie n’ont pas le droit de décider de leur propre corps », se lamente Soinette Désir, secrétaire d’Etat à l’Intégration