Très cher ami,
Le temps passe si vite! Pourtant, il me semble que c’est au début de cette semaine qu’on se rencontre, pour la première fois. Tu n’as pas perdu d’un iota la vivacité de parole et cette manière toute encyclopédique de lier la peinture à l’histoire, au portrait et au mythe. On te décrirait prophète, boulimique et éloquent. Ce n’est pas trop prétentieux d’affirmer que nous faisons partie des derniers authentiques intéressés à la culture muselée et aux formalismes du protocole de l’esprit.
Tu en sais beaucou