À longueur de journée, des citoyens de toutes les couches sociales se font enlever dans les rues de Port-au-Prince. Le phénomène, qui ne fait que gagner du terrain, semble, jusqu’ici, échapper au contrôle des forces de l’ordre. Or, lorsque dans un pays les structures de l’Etat n’arrivent pas à endiguer la criminalité, le phénomène de l’insécurité, du kidnapping, c’est que les criminels se retrouvent à l’intérieur de ces structures, affirme le leader de « Pitit Dessalines », Jean-Charles Moïse, mardi soir, sur le p
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