Toutes les cartes semblent désormais épuisées ; aucune force nationale, politique, religieuse ou sociale ne peut plus, paraît-il, jouer le rôle, éminemment impartial, transcendantal, de médiatrice, pour sortir le pays de cette crise multidimensionnelle, et ramener enfin les deux camps retranchés à la raison. Celle qui doit porter à prioriser l’avenir — à court, moyen et long terme — du pays, et à renverser la tendance à l’exacerbation des extrêmes. Des deux côtés, les actions et expressions semblent celles d’idiots utiles à l’ingérence de
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