Dobet Gnahoré, une voix en fumées mélodiques
6 heures pm passé. Dobet Gnahoré a investi la scène de l'Institut français en sautillant, son micro sans fil à la main. C'est une jeune femme de taille moyenne. Anneaux créoles, un sautoir pendu sur sa poitrine, le corps et le visage maquillé de kaole- pigments de son village, Kiyi, des « locks » noués en bouquet de fleurs au milieu de son crâne, elle était vêtue de lambeaux de tissus couleur terre de sienne et noire. Pour ouvrir le concert, flanquée de ses musiciens, Nabil Metirezi aux choeurs e