La défécation à l’air libre est une grande préoccupation, indique le numéro un de la Direction nationale de l’eau potable et de l’assainissement (DINEPA), Guito Edouard. Plus de 35% de la population haïtienne s’adonne à cette pratique qui est porteuse de nombreuses maladies, particulièrement hydro-fécales (à titre d’exemple le choléra). Monsieur Édouard souligne que la loi haïtienne fait obligation aux propriétaires des maisons de construire des espaces pour déféquer, donc, les autorités municipales doivent veiller au respect sys
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous