Le roman historique, nous a appris le vieux Lukacs, ferait sortir les âmes simples de l’épopée, car l’épique a toujours à voir quelque peu avec la Providence et la présence du divin. Le héros est nimbé du sourire des dieux ou bien la victime de leur férocité incommensurable. Nous aimons pourtant ces histoires, ces épopées, mais la croyance que nous éprouvons est faite de distance, d’interprétations parfois forcées. C’est peut-être vrai, mais pas au pied de la lettre, car, justement, tout semble ne pouvoir être nommé. Le
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