Le 23 mars 1944 quand Gilbert Paulo et son épouse Agnès Constant ont accueilli leur troisième enfant, ils ne pouvaient pas s’imaginer que le poupon nouveau-né qu’ils ont prénommé Pierre-Antoine allait devenir d’abord Père Paulo, ensuite Monseigneur Paulo. Et pourtant, ils y ont collaboré sans en être conscients dans la mesure où la cellule familiale dans laquelle ils ont élevé et éduqué leurs enfants était le terreau fertile à l’éclosion de la vocation religieuse de Pierre-Antoine.
C’est à Praline, une bourgade de Camp-Perrin da