La grève lancée par l’Association des propriétaires et chauffeurs haïtiens (APCH) contre l’insécuritéest respectée au Cap-Haïtien le lundi 1 er février. Les activités étaient au point la deuxième ville du pays, au lendemain d'une manifestation qui a réuni plusieurs centaines de personnes. Les écoles, le marché informel, le gros commerce et surtout le transport en commun n’ont pas fonctionné.
« Sans intimidation, les Capois ont suivi à la lettre la première journée de grève générale », se réjouit l’activiste politique
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