Sept heures du matin, nous sommes dans la cour du centre d'accueil de Carrefour, un espace logeant environ trois cents enfants et adolescents démunis. Certains d'entre eux, sans chaussures et avec des vêtements déchirés, se mettent au travail pour nettoyer l'espace. Sur leur visage, de la désolation et du désespoir.
Dans la cour dudit centre, des piles d'immondices dégagent des odeurs pestilentielles. Même ceux qui portent un masque ne peuvent résister. Ce grand espace qui devrait être une vraie maison de refuge
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