Edine Célestin et la photographie, une alliance au service du militantisme en faveur des droits humains

Une vie consacrée à la lutte pour la défense des droits de l’homme : la phrase qui résume l’orientation des actions de la photojournaliste Edine Célestin. D’ailleurs, elle l’assume et se revendique militante des droits humains. Une militante qui utilise la photographie pour prendre des positions claires et dénoncer des réalités qu’elle estime portant atteinte à la liberté et aux droits des citoyens. Une femme qui a su se battre pour s’imposer en tant que photojournaliste dans un secteur discriminant. Edine Célestin était parmi les 12 grapheurs qui ont exposé leurs travaux à l’école Saint-Joseph de Pétion-Ville, le dimanche 24 janvier, dans le cadre de la première édition de « Haïti, le Printemps de l’Art ».

Lyvert Wedster
Par Lyvert Wedster
28 janv. 2021 | Lecture : 2 min.

Études, passions, expériences, projets... tous ils tournent autour d’un seul axe pour Edine : la militance en faveur des droits humains. La jeune femme fait choix d’étudier le service social à la Faculté des Sciences Humaines de l’Université d’État d’Haïti dont elle est encore étudiante finissante. Avec 5 autres photojournalistes, elle contribue à la réalisation du livre « Kazal : mémoire d’un massacre sur Duvalier - une approche photographique », sous la direction de Nicola Lo Calzo et sous la coordination de Mau

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