Les décrets qui font l’objet de notre réunion de ce matin[1] ont créé depuis leur parution un émoi par certains égards légitimes. Mais la situation et les nouvelles formes de criminalité qui sévissent dans le pays nécessitent que l’État se dote des moyens de découvrir les ressorts des actes criminels, leurs sources de financement, leurs auteurs intellectuels, qu’il démantèle les groupes qui sèment le deuil et menacent les fondements du tissu social. Des gangs kidnappent, tuent et violent ; des revendications politiques s’accompagnent
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