« Je ne me séparerai de mes activités de forgeron qu’une fois six pieds sous terre. J’adore mon travail. J’adore quand je façonne le fer comme bon me semble. J’aime frapper et scier le métal. Je n’ai cure du feu qui me brûle parfois les pieds ni continuellement les mains », raconte Ricœur Bruno en nous montrant ses doigts mangés par le feu. Les risques d’un métier comme le sien. Cependant, ne lui parlez surtout pas de faire une pause. Encore moins de penser à la retraite.
Pour comprendre cet attachement sans b