La panique suscitée par l'enlèvement d'écolier de 10 ans à Bizoton est encore palpable dans la commune de Carrefour 24 heures après. Par peur qu'un autre enfant soit enlevé par des ravisseurs, les parents d'un commun accord avec certaines directions d'écoles ont décidé de garder les enfants à la maison. Pas grand monde n'a osé courir le risque.
La deuxième journée de classe pour la semaine est non seulement paralysée par ce psychosme de peur mais aussi par un mouvement de protestation spontané des gens sur la route des
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