A défaut d'une muraille long de 400 kilomètres pour garder les illégaux haïtiens à distance, les autorités dominicaines ont décidé la création d'une brigade chargée exclusivement de la surveillance frontalière.
Un lourd fardeau pour cette brigade qui devra défier surtout les « boucons », les soldats et les douaniers vulnérables à la corruption des influents trafiquants de stupéfiants.
Quelque 800 personnes qui ont aidé à l'immigration clandestine d'Haïtiens dans la partie Est de l'île, mêlées dans des trafics de drogue, d'armes, des vol