Le Réseau national de défense des droits humains (RNDDH), dans un communiqué publié à l’occasion de la commémoration du séisme du 12 janvier 2010, a fait savoir que pas moins de 50 000 personnes sont éparpillées dans 26 camps d’hébergement et sites de relocalisation, notamment à Delmas, Léogâne, Pétion-ville et Port-au-Prince. Vivant dans « la négation de leurs droits fondamentaux », ils font continuellement face à « l’insécurité en raison des attaques armées qu’ils subissent d’individus qui tentent de les expulser