Environ 50 000 personnes vivent encore dans les camps d’hébergement et sites de relocalisation

Onze années après le cataclysme du 12 janvier 2010, 50 000 personnes vivent encore dans les camps d’hébergement, selon un rapport du RNDDH.

Ritzamarum Zétrenne
Par Ritzamarum Zétrenne
12 janv. 2021 | Lecture : 3 min.

Le Réseau national de défense des droits humains (RNDDH) a dénombré pas moins de 26 camps d’hébergement et sites de relocalisation à travers différentes zones qui ont été touchées par le séisme du 12 janvier 2010. « Vingt-quatre sont situés dans le département de l’ouest notamment à Delmas, Léogâne, Pétion-Ville et Port-au-Prince », lit-on dans ce rapport qui précise que les deux autres se trouvent dans le sud-est, notamment à Jacmel.

Sur ces 26 camps d’hébergement et sites de relocalisation, le RNDDH a recensé en

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