L’avenir du pays reste jusqu’ici incertain à l'approche de la date fatidique du 7 février 2021. Si le président Jovenel Moïse prévoit de partir en 2022 après les élections, une frange de l’opposition, la plus radicale, quant à elle, entend, une fois de plus, tout essayer pour contraindre le chef de l’État au départ, à partir de 7 février 2021. « Ce n’est pas l’opposition et la société civile qui évoquent la fin du mandat du président en 2021, mais la Constitution», rappelle le juriste et homme politique André Michel, invité mardi soi